reportage-Brassens-2019-03-21.mp3 (2.99 Mo)
Donné récemment à Manosque, leur spectacle est une invitation à la dégustation. Mardjane Chémirani et René Brion ont proposé « Vous reprendrez bien un peu de Brassens » comme une liqueur ou un bon dessert. En fait, c’est le duo qui reprend avec délice les chansons de Tonton Georges.
Une voix féminine et un accompagnement efficace et millimétré au piano pour sublimer un monument de la culture française. Des refrains célèbres (Chanson pour l’Auvergnat, Brave Margot, l’orage, Don Juan, Hécatombe, Pauvre Martin, etc et d’autres moins connues comme les Philistins ou l’amandier. Ceux qui aiment se régalent, ceux qui découvrent adorent. Quand en plus c’est Mardjane qui chante 95 pour cent, le pornographe, P… de toi ou encore la très coquine fessée, on en redemande et on en reprendrait bien... jusqu’à risquer l’indigestion.
Le piano soutient la voix et ne s’interdit pas des cassures ou ambiances jazzy qui font mouche. Avec René, le clavier se substitue à la guitare quand Mardjane joue le changement de genre. Il fallait oser et c’est réussi !
On savait le répertoire de Brassens intemporel, ils le font vivre et le rendent immortel.
C’est le terme que j’utilise pour lancer l’interview des deux complices…
Une voix féminine et un accompagnement efficace et millimétré au piano pour sublimer un monument de la culture française. Des refrains célèbres (Chanson pour l’Auvergnat, Brave Margot, l’orage, Don Juan, Hécatombe, Pauvre Martin, etc et d’autres moins connues comme les Philistins ou l’amandier. Ceux qui aiment se régalent, ceux qui découvrent adorent. Quand en plus c’est Mardjane qui chante 95 pour cent, le pornographe, P… de toi ou encore la très coquine fessée, on en redemande et on en reprendrait bien... jusqu’à risquer l’indigestion.
Le piano soutient la voix et ne s’interdit pas des cassures ou ambiances jazzy qui font mouche. Avec René, le clavier se substitue à la guitare quand Mardjane joue le changement de genre. Il fallait oser et c’est réussi !
On savait le répertoire de Brassens intemporel, ils le font vivre et le rendent immortel.
C’est le terme que j’utilise pour lancer l’interview des deux complices…